La littérature et le cinéma sont des arts qui comportent des différences fondamentales. Adapter une oeuvre littéraire demande de réinventer le récit en profondeur.
Dans cet atelier, vous découvrirez comment vous approprier un récit et en faire un scénario. Vous apprendrez à mettre en image un style, un discours, une ambiance à partir d’oeuvres littéraires sans en perdre la nature, et aborderez les aspects juridiques. Différents exemples vous seront présentés pour illustrer le tout. Au terme de cet atelier, vous serez prêt.e à exploiter de nouvelles sources pour enrichir votre création.

Vous êtes encouragé.e.s à écrire une courte note décrivant votre projet / votre expérience / vos attentes afin de permettre à l’instructeur de vous guider au mieux.
→ À envoyer à services@mainfilm.qc.ca

Pour tout renseignement, n’hésitez pas à envoyer un courriel à : services@mainfilm.qc.ca

Mesures sanitaires liées à la COVID-19 :

• Les participant.e.s devront porter un masque de procédure en tout temps, et ce dès leur arrivée à Main Film. Aucun masque ne sera fourni.
• Les participant.e.s devront se désinfecter à l’entrée du centre, et avant de toucher les équipements. Une solution hydroalcoolique sera fournie.
• Les participant.e.s devront limiter leurs déplacements.
• Les participant.e.s seront distancié.e.s de 2m lors des ateliers.
• Les participant.e.s peuvent utiliser les toilettes.

Simon Lavoie

Habitant Montréal, mais originaire de la région de Charlevoix au Québec, Simon Lavoie a étudié le cinéma à l’UQAM. De 2003 à 2007, il signe plusieurs courts métrages remarqués dont Une chapelle blanche pour lequel il remporte le Jutra du meilleur court-métrage en 2006. En 2008, il écrit et réalise son premier long, le film historique Le déserteur. S’ensuit Laurentie (coréalisé avec M. Denis) lancé à Karlovy Vary en 2011. En 2012, il présente son troisième long, Le torrent, un drame salué par la critique adapté d’une nouvelle d’Anne Hébert. En 2015 Simon Lavoie refait équipe avec M. Denis pour le retentissant Ceux qui font les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau (Meilleur film canadien au TIFF 2016, Mention spéciale du jury Generation à la Berlinale). L’année suivante, la critique a unanimement salué La petite fille qui aimait trop les allumettes (inspiré du roman de Gaétan Soucy), son 5e long, lancé au TIFF. En 2021, il présente le drame poétique Nulle trace, film d’ouverture et Grand prix du jury « Breakouts » du Slamdance Film Festival. En 2022, il scénarise le drame financier Norbourg du réalisateur Maxime Giroux.