30 Nov Rencontre autour du 1er long-métrage documentaire | En ligne
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Nov
Rencontre autour du 1er long-métrage documentaire | En ligne
Rencontre - Cycle Documentaire - Automne 2021
mardi 30 novembre 2021
18 h 00 - 21 h 00
Mardi 30 novembre de 18h à 21h COMPLET
Invité·e·s | Emily Gan (Cavebirds), mathilde capone (La fabrique du consentement : Regards lesbo-queer) et Sarah Baril Gaudet (Passage)
Modératrice | Lamia Chraibi
Gratuit sur inscription
Ne manquez pas la chance unique de rencontrer 3 cinéastes documentaires émérites, Emily Gan (Cavebirds), mathilde capone (La fabrique du consentement : Regards lesbo-queer) et Sarah Baril Gaudet (Passage) qui témoigneront de leurs visions et expériences personnelles d’une étape qui s’avère cruciale dans la carrière d’un cinéaste : créer son premier long métrage documentaire.
Les cinéastes discuteront des plus grands défis à relever lors de cet exploit : un échange de connaissances des plus enrichissants sur l’écriture du film, l’expérience du tournage, la préparation de la production et la diffusion de leur oeuvre. Réaliser un premier long métrage documentaire correspond à de véritables enjeux stratégiques, artistiques et humains difficiles à anticiper.
Un précieux moment d’échange pour tous·tes cinéastes ou cinéphiles qui souhaitent connaître les vrais enjeux de produire un premier long métrage.
Pour tout renseignement, n’hésitez pas à envoyer un courriel à : services@mainfilm.qc.ca
Emily Gan
Emily Gan est une artiste née et élevée à Montréal qui travaille dans le cinéma et la photographie. Elle est lauréate du prix Emerging Canadian Filmmaker au festival Hot Docs 2019 pour son premier long-métrage de documentaire Cavebirds (2019). Son premier long-métrage de fiction Pink Lake (2020) a eu sa première mondiale au Vancouver International Film Festival 2020 et a récemment fait sa première internationale au Durban International Film Festival 2021. Emily fait partie du conseil d’administration de PRIM, Centres d’artistes à Montréal, enseigne le yoga à Studio Naada Yoga et travaille à la pige comme photographe, vidéaste et monteuse à Montréal. Elle est aussi cofondatrice de Downtown Balat, une boîte de production de films. Emily développe actuellement un court film d’horreur qui adapte à l’écran une fable chinoise.
mathilde capone
mathilde capone est une militante féministe, anticoloniale, gouine et queer impliquée dans diverses initiatives collectives qui donnent matière à penser et à transformer. Cinéaste, elle cherche à façonner d’autres possibles en donnant la parole à des communautés marginalisées et en créant des outils d’éducation et d’émancipation.
Sarah Baril Gaudet
Sarah Baril Gaudet est une réalisatrice et directrice de la photographie basée à Montréal. En 2016, elle a complété un baccalauréat en cinéma à l’Université du Québec à Montréal, où elle a obtenu la bourse du Meilleur espoir documentaire. Son court métrage documentaire Là où je vis s’est démarqué dans plusieurs festivals internationaux. Sarah a complété en 2020 son premier long métrage documentaire Passage, présenté entre autres aux RIDM et nommé au Gala Québec Cinéma dans la catégorie Meilleure direction photo en documentaire.
Modératrice : Lamia Chraibi
D’origine franco-marocaine, Lamia a appris très jeune à côtoyer des univers culturels hétéroclites. Diplômée en Sciences Politiques (Sorbonne, Paris) et en Réalisation Documentaire (INIS, Montréal), elle parcourt le monde à la rencontre d’histoires diverses. Elle co-réalise son premier documentaire Voix D’Amazonie, suivant la lutte de communautés autochtones pour la préservation de la nature et gagne le Prix Survival International. Son long-métrage documentaire Circo, (en développement) suit le parcours éclaté d’un artiste de cirque dans les favelas de Rio de Janeiro. Le cinéma de Lamia est basé sur le temps et la confiance établie avec les protagonistes. Elle s’intéresse particulièrement aux thèmes de la justice sociale, l’identité, la famille et le territoire. Elle traite également de sujets reliés au langage du corps et à l’art social. Avec une approche sensible et engagée, sa caméra lui permet de donner une voix aux acteurs sociaux oubliés d’ici et d’ailleurs.